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Camelia
Ma tête sur mes épaules tangeunt comme une vielle poulie.
Je grince en pliant mon cou. De haut en bas, de bas en haut.
Oui. oui . oui.
Je suis aussi un trés vieux pantins ridicules perchés sur ses deux jambes de bois, avec écharbes et pantalons qui s'accrochent dedans.
Je suis automatique, je marche , les deux jambes en avant, en chantant, je souris, j'acquieste de touts mes gonds, et je fends mes deux joues par les coins de mes lévres métalliques.
Je traîne mes rouages.
Qu'on me huile le crâne.
Tout s'emmêlent et se prend dans les mecanisme. Tout les tissus d'intenses, glissés hier dans mon oreilles, tomber dans mes yeux qui se sont allumés comme deux trés vielle fenêtres.
Avec les rideaux qui battent, aplaudisent.
Des volets verts où bleus on ne sait plus trés bien à cause de la peinture qui s'écaillent.
Un crocodile habite dedans. Trés important les crocodiles. Ils ne connaisent ni les noeuds papillons, ni les châpeau haut de forme, ce qui les empêche d'être Magiciens, où simplement élégants. Ils sont de véritable marins. Avec des peintures d'indiens.
Que je joue sur la pointe de mes pieds à retracer hier, avant hier, avant avant hier.
Un trés vieux ricochet. je souléve de la poussière.
Mais les histoires ont fânés en dessous , il y a encore des mots qui apparaisent, des bouts d'histoires avec un début , une fin, des histoires presque fléchés, avec un sens, une direction, mais il n'en reste que des morceaux qui s'effacent sur le plancher :
" Camélia..." " Châpeau..." " Intense..." "...Néon"...
ha si je me souviens.
Il y avait lui qui me dresse sur mes deux talons, qui me collent des envies dans le dos comme des poissons d'avril et qui m'obligent à exister. Lui , Lui , Lui, le soleil sous mes dents. Lui, lui, lui, le chaud sous mes paupières, Lui, lui, lui, que je roule en boule contre mon coeur. Tout ses ronronnements contre moi, fondent, fondent, fondent, je suis un ronronnement, ça me fais trébucher.
Je ne me remets debout que quand ils s'étirent, palpitant, mon feu en bois, qui s'allonge et s'endort. Je deviens les cendres qui se serrrent entre ses pierres. Qu'est ce qu'on est bien.
Le temps se cassent la geule contre les fenêtre. Qu'il aille voir ailleurs.
Qu'ils aillent tous voir ailleurs.
Je suis superficielle il paraît, je n'ai pas de fond, je suis du toc, une couverture de livre, je n'existe pas. Bref. La décoration , l'oreille, voilà. La végétale dans un coin, qu'il fait trés beau quand elles allument ses fleurs.
Mais je l'avais dit. Qu'il soit bien claire. Si je dois exister, je n'existerai que pour un entièrement. et j'existerai furtivement pour les autres. Quand je n'existe pas, c'est pour tous que je le fais.
Du Sucre-en-poudre, c'était 23:19 pour Croquer dedans.

Sucrettes :

  Truande
12-05-06
à 17:31

T'es la plus mieux, Complice.
Je (l).


  sucre-en-poude
12-05-06
à 20:16

Re:

=D Youhou.
Et Toi Truande chocolatée (l)
Faudrais se faire une virée dans l'Ouest un de ses quatre. Histoire de nous mettre le soleil à dos et de ressentir le grand frisson immense.

  Truande
13-05-06
à 11:09

Re: Re:

Quand tu veux :D



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