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Des visages, des figures, des figurants à effacer..
--> ( Copie Emmylou)

( récidive. encore un texte qui c'est fait croquer . et on doit revenir à la ligne pour les réinventer)

Ce matin, patte folle, je traîne ma jambe de bois, ma jambe découpée, qu'on a créée hier.
je traîne ma peau de chat, ma fourure sous laquelle gigote cet oiseau de ficelle que j'ai avalé quand le vent nous à porté d'un toit à l'autre. Lui , chat de gouttière, fait de vrai tôle de vrai gouttière, entend le vacarme de la ferraille dans sa tête, des cuillères qui grattent son métal.
Et comme il fait beau, et que l'oiseau chante, et que la moitié de l'oiseau est dans son ventre à lui, j'entend les cuillères dansaient dans ma cabosse.
Pendant que sur le sol, sur l'asphalte tiéde s'étirant, on voit son ombre nous sourire. Les zéboueurs ont polis le trotoir avec de la pluie froide en jet. Par terre l'eau s'allonge en miroir, et la terre s'y déforme.
je marche sur le ciel, sur les branches des arbres, sur les reverbères. je suis funambule et oiseau. Je grimpe, je vole.
Eclat de rire.
" On va te prendre pour un fou là haut "
On me prend déjà ici.
J'esquise un entrechat. De chat à fourure bleu. J'admire mes pieds qui valsent et le soleil qui se noient dans le trotoir.
Mon châpeau melon fait que de loin on me prend pour un cowboy, soleil en pleine face.
- Il te manque plus que le flingue ( Melissa)
Il me manque plus que le flingue, que le palpitant et Clide. Et par pour l'aventure.
8 avril.
Je n'ai pas d'impatience, je mange la vie maintenant. Et il ne me manque pas vraiment. Je sens un creux, comme un oublie, mais je vis.
J'ai peur des barreaux qui pourraient pousser dans ma poitrine. je ne veux pas être emprisonné derrière ses fenêtres. je ne veux pas ses fenêtres . mais je veux lui. je veux sourire, yeux de môme, grains de sables, patte d'ours, mots doux doux, et tout qui s'exorcisce.
Les ronds bleus sur mon ventre qui n'est qu'une peste grise, pour lui apprendre à ne plus s'agenouiller, à ne plus crier trop fort, à devenir une île. A lui raconter des histoires de soleil et de limonade , et pas des mots crues froids d'arbres squelettes, quand son oreille se branchera à mon nombril.
Mais je virvolte et me fracasse contre les murs.
On ne perd pas ses habitudes.
je ne suis pas pressée. je crois, il y a certain mots que j'aurais du gardé pour moi, je n'ai pas d'envie fébrile qu'il appelle.Mais s'il n'apelle pas, j'aurais l'envie fébrile de croire que ce n'est pas parce que je l'ai cabossé.
Et elles que j'oulient.
Abrutie, Abrutie.
Paroles violentes qui sortent de ma bouche.
Si sa main dessus , jamais.
Paroles violentes. Je ne me-le connais pas vraiment.
Tout glisse entre mes doigts.
Est ce que tout finira comme d'habitude ? et je me trompe ?
Mais aprés et demain, du soleil, et tout semble plus brillant, tout semble plus proche.
Quand il pleut c'est le ciel qui nous embrasse de ses milles baissers mouillées, qui nous caresse avec le vent. Quand il fait beau c'est nous qui embrassons le soleil.
Embrassons le tant qu'on peut. Chaque matin. Vivre . Ne pas oublier de vivre.
( retenir. ne pas oublier )

Du Sucre-en-poudre, c'était 20:22 pour Croquer dedans.

Sucrettes :

  Truande
28-03-06
à 18:42

(qu'est-ce que j'fais dans le sous-titre ?)

  Anonyme
29-03-06
à 17:49

Re:

je t'ai copié pour les paroles de chansons en titre Oo c'est du plagiat de complice !



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