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Citrouille

Peut être que je n'existe pas vraiment.
Que je suis tremblante.
une de ses images de télé, quand la télé neige, les images floues, qui grésille, avec les hommes en noires dedans qui souris de leurs 32 dents, sans en oublier aucune, même les dents du fond sourient et renvoient la lumière sur la tête des télespectateurs, c'est pour ça que l'écran brille tant dans le noir, pour ça qu'il nous trempe dans sa lumière froide, trop de dents. trop de présentateurs.
Ils les lissents sans doute des heures avant de se présenter dans le petit cadre.
Je glisse dans ma coquille, le long de ma coquille, je roule avec elle, elle se resserre contre moi, je deviens la coquille. Je suis un foutue fantôme dans sa coquille, incapable de tendre sa main vers son revolver, celui qui lui reste de sa dernière visite dans un Western Spaghetti, je suis le fantôme inconnue d'un vieux film passant sur Arte, qui un jour c'ets trompé d'horraire et à débarqué à midi dans Caliméro.
J'ai était viré d'Arte, de la télévision, et ma vengeance s'est réalisé lorque j'ai volé la coquille de caliméro.
Maintenant je roule avec, et je ne vois qu'en transparence l'extérieur, qui ne me vois qu'en transparence.
Et je suis bien là, blottie dans ma transparence. Je peux les transformer en ce qui me plaît tous ces passants, je peux les réinventer.
Des fois pourtant, ma coquille a force de rouler est plus transparente que d'habitude, et il me voit totalement, ils voient mes yeux fixés sur eux et ils fixent les leurs sur moi, et ils m'égratinent, me décortiquent, m'enlévent toutes mes couchent, et rient, où alors ils accélèrent le pas en m'empêchant de les réinventer. Ils prennent leur pudeur au sérieux.
Et la coquille ce sdreniers temps, s'éffritent de plus en plus souvent.
Ils me voient dés que je tournenet la tête un peu brusquement, où que je fais un pas de côté, ils me voient quand je funambule, quand je porte mon châpeaux, quand je chantonne, quand je m'envole, et ils rient.
Certains c'ets le rire posé doux, qui donne envie de l'avaler comme un bonbon au miel, pour le laisser fondre dans les oreilles, d'autres c'ets le rire charcutant qui brissent tout vos geste en réduisant la joie qu'ils vous apportaient en une boule de papier qui atterit dans le caniveau.
Alors j'essaye de recoudre ma transparence, de réparer la coquillé, trés trés vite. De me retrouver avant de tomber dans leurs jeux et d'abandonner mes gestes, où voir qu'ils deviennent faux , rouillés, que je les fais pour me rassurer, que je les fais pas habitude, et non par la petite impulsion electrique, le petit bonheur sous la joue droite, le petit bonheur qui palpite et vous embrasse.
Je mets des couches de couleurs, je crayonne à grands coups des brouillons sur ma peau, je marche à reculons pour ne pas voir leurs endroits, je goûte les cerf-volants et les forêt de guiaters dressées dans les magasins. Je goûte son rire à elle qui me raconte que qu'est ce qu'on est bien ici, et que " t'a vu le type ils portent des étoiles! " =).
ça marche mais ça tremble toujours.
J'étais bien quand je n'existais pas du tout, quand je n'obéisais à aucune de leurs régles sauf celles que je voulais bien croquer, maintenant je n'existe pas vraiment, j'existe par grésillement et à coup, alors je plie les genoux, je mets ma couverture sur moi, je raconte que c'est un Tipie, et je suis coûpée d'eux. Et alors ils se remettent tous à danser, les pantins et les ombres, les éléphants montés sur leurs échasses, les rayures qui poussent sur ma peau, alors j'ai envie de rester immobile trés longtemps dans la semi-obscurité, à les regarder grandir, grandir,grandir, et prendre du poids, de la couleur, jusqu'à voirs le Tipie-couette monter trés haut jusqu'au plafond, jusqu'à ce que la couette glisse sur le côté, et qu'ils envahissent la piéce, et puis d'un coup.
D'un coup bondir, crier, sourire, les sentir contre ma peau, les sentir contre mes murs, partout, partout, et les faires chanter dans mon oreilles, les faires chanter dans d'autres oreilles, faire bondir leurs coeurs et le mien trés forts. Jusqu'à ce qu'on explose de rire où de silence.
Jusqu'à ce qu'ils retombent, que leurs héliums s'égrénent, et que je me retrouvent au milieu du lit froid-froid-froid et si petit au milieu du monde emprisonné derrière les fenêtres.
N'avoir que l'envie d'un autre tipie, mais qui ne retomberait pas si vite, un autre tipie chaud, doux, fais de vrais plumes et de vrais doigts qui vous emprisonnent doucement, qui vous enferment dans un encombrement de bruits et de sables, de musique qui glisse, solaire.
N'avoir que l'envie. Droit devant soi. et rien pour l'attraper. que de la distance.

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Du Sucre-en-poudre, c'était 20:45 pour Croquer dedans.



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