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Je suis fantôme, elastique, acoustique, je valse sur mon sourire et mon coeur au deux coins.
Je me prends pour le soleil qui s'échoue sur la plage , et avec le sel, l'eau et les coquillages, devient un bout de verre enfermant l'océan.
Tout se couche sur ma peau, et avant tout le ciel. Dans lequel mes yeux se léve.
J'ai de l'orgeuil, je me vante, je regarde de haut, je souléve mon châpeau, même ma voix grésille.
Les nuages d'hier était des cotons pour me maquiller, si on tirais dessus il s'éfiler, en mille mille petites rivières de barbapapaneige.
Me recouvrait de la tête aux pieds, et je ressemblais à l'ombre folle d'une dame iceberg.
Je ne glisse pas pourtant.
Mais j'avance là où ça résonne.
je marche à l'envie.
et j'oublie, et j'oublie derrière moi les voix de ceux qui m'agrafent, qui m'agrument, qui m'ampoulent, et qui dés que j'y pense me file des pulls de bonheur.
Alors j'aimerai m'escusez un peu, d'être une vrai cavale, de ne laisser de traces que des circonflexes, pendant que d'autres s'éclipsent loin où je ne sais pas, loin où je ne veux pas regarder, quand j'y retournerai pourtant.
ça vous tombe toujours dessus.
Quand j'y retournerai j'agriperai mes mains au bord du macadam pour qu'ils me hissent.
Les marins emplumés.
Je vais ouvrir le haut de mon châpeau, pour que ma tête que mes pensées s'envolent, et que je les regardent tomber comme des confettis, et je sauterai dedans en riant, comme je saute dans les pétales roses-pâles longeant le caniveau du Parc.
Généralemnet c'ets du sang où de l'eau , où encore Fatima et Samuel, qui coulent dedans.
Mais là non. Dans le parc il y a des pétales, des milliers d'ailes froissés, au pied des grand arbre hissés sur le macadam.
Et je saute à cloche-pied dedans avec mes deux pupilles.
Je chante et les gens pensent que je parle à ma silhouette.
Je joue les funambules, et les passants croient qu'elle est folle la gamine.
Il y a qui me sourit. Qui me dise trés sincérement " Jolie le châpeau ! " sans savoir que bientôt je vais en enlever toutes les pensées.
D'autres qui tire des yeux de chouette, où encore qui marche trés vite en regardant leurs pieds.
Que du coup je zieute aussi.
et qui sont impresionnant.
Et moi j'éclate de rire où d'indignation. En me disant que je fais exactement ce qu'il aimerai faire, que seuls les môme osent faire, mais les mômes on ne les regarde pas , les mômes sont de natures fous, on pense les redresser, on les envie un peu, mais on reste sagement sur le trotoires, car la bonne éducation dit que.
On ne rit pas tout seul.
On ne chante pas tout seul.
On ne se fait pas remarquer.
On planque ses envies, on met sa vie en sourdine.
Quand on est seul.
On doit être deux pour être fous raissonablement.
Alors pensez, je me crois révolutionnaire.
[ Prise de temps ]